La date du rendez vous pour une consultation a été oubliée. Le médecin réclame des honoraires.
Est-il dans son droit ?
Nous documentons cette question et tenterons d’y répondre.
				La date du rendez vous pour une consultation a été oubliée. Le médecin réclame des honoraires.
Est-il dans son droit ?
Nous documentons cette question et tenterons d’y répondre.

Un partenariat entre la Fédération « Vivre l’Yonne » et l’Adil 89
Le programme « économiser en consommant mieux » a plusieurs objectifs. Si l’on ne peut pas agir pour les familles sur leurs recettes, nous proposons de les aider à baisser leur dépenses.
Le Défi « Familles à énergie positive » a pour objectif de démontrer que tous ensemble il est possible de lutter efficacement contre les émissions de gaz à effet de serre en participant à une action concrète, mesurable, et conviviale… MAIS SURTOUT DE RÉDUIRE SA FACTURE D’ÉNERGIE et d’EAU. Comment  cela fonctionne t’il ?
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Le 22 juin nous écrivions au Président de la République.
Surprise ! la Présidence nous a répondu.
Nous vous livrons sa lettre. Au delà du contenu de celle-ci, notons qu’une intervention auprès du Chef de l’État est prise avec sérieux et qu’une suite lui est donnée. > Lire la suite
Le mouvement écologique oublie l’histoire et ferait bien d’en tenir compte.
A la caisse d’un supermarché, une vieille dame choisit un sac en plastique pour ranger ses achats.
La caissière lui reproche de ne pas se mettre à l’écologie et lui dit:
 » Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique.
Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources ! « 
La vieille femme s’excuse auprès de la caissière et explique :
Je suis désolée, il n’y avait pas de mouvement écologiste de mon temps. »  > Lire la suite
Une pénurie d’eau se dessine, à voir.
Ce n’est pas d’une pénurie d’eau dont la planète souffre, c’est d’abord de sa mauvaise répartition et surtout de sa mauvaise gestion : elle est gaspillée, polluée et gérée de façon non durable.
La pollution est en passe de devenir l’une des principales menaces pour la disponibilité et la réutilisation de l’eau. L’urbanisation rapide, la dégradation du sol, les fortes densités de population et les mauvaises conditions d’élimination des déchets portent atteinte aux sources d’eau douce disponibles. L’eau ne disparaît pas elle se salit. L’eau est
 toujours là, elle est mal traitée.
On constate avec dépit que la Convention Citoyenne pour le Climat dont on nous a tant rebattu les oreilles ne s’est même pas saisie du thème de l’eau. Pourtant il s’agit là d’un aspect déterminant, de l’évolution défavorable des effets climatiques, dans ses causes et ses conséquences .
Contraindre la pénurie d’eau. Que ne fait t’on pas?. > Lire la suite
Le Ségur de la santé; qu’en est-il ? pour vous informer au mieux nous nous contentons de reproduire les informations puisées dans la lettre n°24 d’août de l’ARUCAH BFC 16 B rue de Vesoul 25 000 Besançon.
Ségur de la santé, entre décentralisation et déconcentration.

Des décisions au plus près des territoires : un consensus
Depuis son lancement officiel le 25 mai, le Ségur de la santé a suscité un nombre considérable de contributions et de propositions de toutes sortes, émanant d’horizons les plus divers. Pour prendre l’exemple de notre région, la CRSA (Conférence Régionale de la Santé et de l’Autonomie) réunie le 17 juin, a fait connaitre ses propositions (cf la lettre n° 23), sa réflexion ayant été alimentée par des contributions émanant de plus d’une quinzaine d’acteurs locaux dont de nombreuses associations.
Parmi les thèmes le plus souvent mis en avant, on trouve en bonne place : le renouveau de la démocratie en santé, le rôle des territoires, la place des élus et des collectivités territoriales, le rapprochement du sanitaire et du médico-social, Ces thèmes déjà intégrés au plan « ma santé 2022 » ont été largement repris dans les discours officiels entendus durant la période de crise.
Pour répondre à ces vœux, 2 démarches sont possibles : la déconcentration : l’État garde la décision, mais la rapproche du terrain, et la décentralisation : la décision appartient aux collectivités territoriales et donc aux élus de proximité. > Lire la suite
L’après Covid, il est là.
Les familles, à commencer par les plus vulnérables, payeront les effets de la 
crise du (ou de la) Covid 19 directement pour celles qui ont été touchées dans leur chair, mais aussi indirectement par la catastrophe économique qui se profile et se propagera une fois le bénéfice des mesures gouvernementales de soutien  estompé.
Le réalisme impose de ne pas escamoter ce scénario difficile plus que probable.
Mais ceux qui nous disent « rien ne sera plus comme avant », doivent se donner l’ambition de provoquer un salutaire séisme des idées, à l’aune de ce que nous ont appris la pandémie et ses conséquences.
Si les décideurs, gouvernementaux, régionaux et locaux savent créer un tsunami comportemental de notre monde industriel, social, environnemental qui soit compris, approprié et pratiqué par tous, dans le privé comme dans l’exercice de nos responsabilités professionnelles, associatives, politiques, alors nous transformerons en bouleversement salvateur notre quotidien et notre pays. > Lire la suite