Jeunesse

Harcèlement entre jeunes … encore !

A – Le harcèlement entre jeunes a toujours existé, mais il s’aggrave.

Vivre l’Yonne en a déja traité, consultez les articles à l’aide des liens suivants : cyber harcèlement Vivre l’Yonne se mobilise harcélement entre jeunes nos conférences.

On ne le redira jamais assez, en primaire, au collège ou au lycée,so-5f20445166a4bd6f5cd490ca-ph0 le harcèlement scolaire touche de nombreux élèves avec des degrés de gravité plus ou moins sévères. Ce phénomène inquiétant peut avoir de graves répercussions.

Avec le développement des nouvelles technologies et des réseaux sociaux, il dépasse le cadre scolaire et affecte aussi les jeunes à travers le cyberharcèlement. C’est pour cela que Vivre l’Yonne parle du harcèlement entre jeunes et non du harcèlement scolaire, trop restrictif. > Lire la suite

Harcèlement entre jeunes : insupportable !

Harcèlement entre jeunes : Vivre l’Yonne se mobilise

Vivre l’Yonne lance, en collaboration avec l’Éducation Nationale et avec le soutien de la CAF 89, une série de conférences destinées aux parents d’élèves,  pour ensuite créer un Réseau Parental de Proximité ».

Ce projet préparé depuis plusieurs mois se déroulera en Novembre prochain sur le Sénonais, l’Avallonnais et l’Auxerrois à des dates et lieux qui seront précisés dans la presse et sur ce site. Mais nous invitons les parents qui, dès maintenant, au vu d’une actualité inquiétante, souhaitent participer à ce réseau, à se manifester en adressant un message à contact@vivrelyonne.fr

Pourquoi  cette initiative ?  :  cet article fait l’historique de plusieurs faits certains dramatiques survenus à des jeunes enfants suite à des harcèlements, notamment sur les réseaux sociaux.   Ce 17 septembre 2021, ce sont les élèves de 6eme qui sont visés.

C’est un mot d’ordre qui monte depuis plusieurs semaines sur les réseaux sociaux et qui a cumulé 40 millions de vues. Le hashtag #Anti2010 vise les élèves nés cette année-là, qui rentrent cette année pour nombre d’entre eux en classe de 6ème.

Sur les réseaux sociaux, des moqueries s’enchaînent sous ce mot d’ordre, générant un véritable harcèlement de ces nouveaux collégiens. > Lire la suite

réseaux sociaux et jeunes

Les réseaux sociaux chez les jeunes : les deux côtés de la médaille

Cet article a été écrit par Sophie Boisvert-Beauregard  ( sur blogsgrms . un site québécois). Il est particulièrement intéressant. Certains médias français ont présenté l’enquête américaine dont il est question dans l’article.  Gageons que les observations apparues outre atlantique ne sont guère étrangères à ce que l’on peut constater chez nous.

image3
Une utilisation saine et appropriée. Est ce le cas ?

« Utiliser les réseaux sociaux représente l’une des activités les plus courantes chez les jeunes d’aujourd’hui. Un récent sondage mené aux États-Unis démontre que 51 % des adolescents se connectent à leur réseau social favori au moins une fois par jour et que 22 % des jeunes le font plus de 10 fois quotidiennement (Common Sense Media, 2009). Les sites comme Facebook, YouTube ou Twitter, qui se sont développés à grande vitesse au cours des dernières années, s’avèrent hautement populaires auprès des jeunes, notamment parce qu’ils leur offrent l’opportunité de se divertir, mais également de communiquer entre eux (O’Keeffe et Clarke-Pearson, 2011). Il demeure cependant essentiel que les jeunes sachent en faire une utilisation saine et appropriée, sans quoi, certains problèmes pourraient survenir. > Lire la suite

École de la 2eme chance

E2CL’école de la 2eme chance, une chance pour les « décrocheurs »

On appelle un « décrocheur » un élève qui quitte ou risque de quitter prématurément le système scolaire sans avoir obtenu de diplôme (CAP, bac pro ou bac). Des établissements ont été créés pour les accueillir, les remotiver et les accompagner vers une reprise d’études et un projet professionnel durable.

L’obligation de se former.

À partir de la rentrée 2020, afin qu’aucun jeune ne soit laissé dans une situation où il ne serait ni en études, ni en formation, ni en emploi, l’obligation de se former est prolongée jusqu’à l’âge de 18 ans. Un décret paru au Journal officiel le 6 août 2020 définit les conditions qui doivent être réunies pour que cette obligation soit remplie, les motifs d’exemption ainsi que le rôle des missions locales chargées de sa mise en œuvre et de son contrôle.

> Lire la suite

Chaque enfant est une étoile.

Enfant tu es une étoile, mon étoile; enfants vous êtes mon ciel.

Enfant de l’amour ou enfant de l’indifférence. Ils n’ont pas la même chance. Il y a les uns. Il y a les autres.

Pour les uns, comme c’est agréable la nostalgie du souvenir de moments du passé, pleins d’émotion et de tendresse, moments dont nos enfants, petits alors, étaient la source.

enfant heureux
enfant heureux, enfant bonheur.

C’est cette petite bouille interrogative de la fillette qui ne marche pas encore, …. mais enfin pourquoi je ne reçois pas mon cadeau comme les autres ? C’est quand, la même, deux ou trois ans plus tard, déjà attentive à sa mise, mesure la longueur de ses couettes pour vérifier la bonne tenue de sa coiffure  …

C’est ce petit bonhomme qui court autour de la pelouse du parc pour « jouer » au coureur, ou qui se lance, le couloir pour terrain de jeux, en glissade sur les genoux C’est lui qui voulant « faire quelque chose avec son père », enfin, pêche un poisson. Grande découverte, le poisson n’est pas carré, ni pané, mais surtout il bouge…., il ne le mangera pas.

> Lire la suite

Réseaux sociaux, meurtriers ?

« Elle (Mila) s’est exprimée sous le sceau de la liberté d’expression. Pensant que lorsque l’on est sur internet on a le droit de tout dire. C’est là où elle s’est trompée. Je pense qu’elle ne s’est pas rendue compte que lorsque l’on parle sur Internet, l’exposition devient mondiale et que ses propos pouvaient déranger, choquer. »

Ainsi s’exprime pour lassociation e-enfance, Samuel Comblez, directeur des opérations.. L’association a eu Mila plusieurs fois au téléphone depuis samedi.

Après de violents propos anti-Islam tenus dans une vidéo publique publiée sur Instagram, Mila, jeune lycéenne de Villefontaine, en Isère, est la cible de graves menaces de mort, passibles de 3 ans de prison et de 45 000 € d’amende.

Lorsque l’on lit la polémique déclenchée sur les réseaux sociaux et dans les médias par les propos imprudents de Mila, à preuve ceux de la Ministre de la Justice elle-même, qui rétropédale par rapport à sa déclaration initiale, il n’est pas question de nous prononcer sur le fond de l’affaire. Si, peut-être pour pointer la déclaration  d’Abdallah Zekri, délégué général du Conseil français du culte musulman (institution ayant vocation à représenter les musulmans auprès de l’État français) face aux propos d’une gamine de 16 ans et rappeler que le délit de blasphème n’existe plus dans notre droit depuis la loi du 29 juillet 1881 relative à la liberté de la presse et … nous ne sommes pas sous le régime de la Charia. Capture

Non, il s’agit une fois encore de dénoncer l’utilisation inconsciente faite des réseaux sociaux, notamment par les jeunes.

Malheureusement ils ne mesurent pas les conséquences de propos, de photos, envoyés sur les réseaux sociaux. « Ce n’est pas grave j’ai envoyé seulement à une amie sur son compte personnel » On entend souvent cela. Sauf que l’amie, quand elle n’est plus amie, ne se gène pas pour que la photo passe de smartphone en smartphone comme une vague qui enfle et que l’on ne maîtrise plus.

Vivre l’Yonne a déjà évoqué à plusieurs reprises le harcèlement dont sont trop souvent victimes les jeunes. Le harcèlement fait des dégâts. Aujourd’hui s’y ajoute cette arme implacable, l’impunité et surtout l’anonymat des réseaux sociaux. Réseaux sociaux, ou tout simplement internet et par exemple la plage d’expression possible avec les commentaires de nos articles, commentaires souvent abjects. Répugnants ils ne sont pas publiés bien sûr, mais on sent l’intention de nuire à ceux à qui ils s’adressent. Ce n’est pas agréable du tout, mais c’est ce que veulent les courageux anonymes .

Enseignants, bravo aussi.

Les enseignants n’ont pas abandonné les enfants durant cette période de confinement !

Beaucoup d’enseignants, professeurs des écoles, des collèges, des lycées se sont fortement impliqués pour mettre en place des relations avec leurs élèves confinés pour assurer tant bien que mal la continuité pédagogique. Ils méritent aussi notre reconnaissance.

Un exemple de dispositif numérique :

Marlène Monguillon, professeure des écoles, dans une école de la région parisienne met en place un dispositif pour assurer la continuité pédagogique de sa classe.

> Lire la suite

syndrome du choc toxique

une-choc-toxique Tampon hygiénique  et le  syndrome du choc toxique.

Les jeunes filles qui lisent pour la première fois la notice d’utilisation d’un tampon hygiénique ont de quoi s’inquiéter en découvrant un risque baptisé syndrome du choc toxique.

Le lundi 20 janvier 2020, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail a publié des résultats d’évaluation supplémentaires sur l’expertise qu’elle a menée en 2018 concernant la sécurité des protections intimes. Selon l’agence, il est nécessaire de renforcer la sensibilisation des femmes et des professionnels de santé sur le risque de syndrome du choc toxique menstruel (SCT).

Le syndrome du choc toxique fait des victimes > Lire la suite

permis de conduire pour les jeunes

Le permis de conduire pour les jeunes.

Pour beaucoup il est trop cher, trop long, trop dur. Le coût moyen estimé pour apprendre à conduire et passer son permis est de l’ordre de 1 800 €, en moyenne. Certains dépensent 2 ou 3 000 euros.

Si 60% des 18/24 ans détiennent leur permis, sur les 40% qui ne le possèdent pas, l’argent reste le principal obstacle pour le passer.

L’association Que Choisir a passé au crible les pratiques des auto-écoles index et pointe des dysfonctionnements, notamment en matière de pratiques tarifaires.

Pour profiter de coûts plus bas il existe un modèle que l’on ne connaît pas bien « l’auto école associative ». Elle offre une solution pour les personnes rencontrant, pour des raisons financières, des difficultés à obtenir leur permis de conduire dans le circuit classique. L’Yonne Républicaine nous annonçait la création d’une auto école associative à Bléneau. > Lire la suite