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Obésité en France, elle rattrape les USA

L’obésité des Français  et cela ne surprendra personne. Une étude publiée le 25 octobre dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire dresse un tableau précis de la question de l’obésité dans notre pays. Cette étude a été menée sur un panel de 30 000 personnes, conjointement entre l’Inserm et la Cnamts.

 En France, plus d’un habitant sur deux âgé de plus de 30 ans souffre d’obésité, selon cette étude de l’Inserm. Un phénomène préoccupant en termes de santé publique.

Plus d’un homme sur deux et une femme sur trois sont en surcharge pondérale. Tel est le constat inquiétant effectué par l’Inserm et l’Assurance maladie au travers d’une étude publiée hier, révélant un véritable problème de santé publique.

Les enquêteurs ont travaillé sur un panel de 28 895 personnes âgées de 30 à 69 ans, et tirées au sort. Elles ont ensuite été pesées, mesurées et soumises à des examens sanguins et cardio-vasculaires. > Lire la suite

EMBOLIE PULMONAIRE, ce qu’il faut savoir.

Explications sur l’embolie pulmonaire présentées par les Docteurs Rossant-Lumbroso, et Lyonel Rossant

Le texte qui suit est emprunté au site DOCTISSIMO

L’embolie pulmonaire signifie qu’un caillot circulant dans le sang va obstruer l’artère pulmonaire. Des examens complémentaires permettront de confirmer le diagnostic avant d’initier en urgence des traitements anticoagulants, voire un traitement thrombolytique ou une embolectomie chirurgicale. On peut limiter les récidives en agissant sur les facteurs de risques et grâce à un traitement anticoagulant au long cours.

Qu’est-ce que c’est ?

Il s’agit en général d’un caillot ambulant qui circule dans le sang et finit par boucher une ramification artérielle irriguant le poumon.

Mécanismes de l’embolie pulmonaire

L’embolie pulmonaire est la complication majeure de la phlébite. On la redoute chaque fois que se forme un caillot qui obstrue une veine d’un membre inférieur (veines du mollet ou de la cuisse). Une infection d’une paroi veineuse ou une hypercoagulabilité du sang peuvent provoquer une phlébite surtout s’il existe une station au lit prolongée. C’est le danger qui guette les opérés, les grabataires, les accouchées qui ont souffert de complications obstétricales.

Le caillot apparaît souvent à l’endroit où la paroi d’une veine est lésée. L’atteinte peut être accidentelle (fracture de la jambe ou du col du fémur) ou pathologique ( ulcération, infection). La lésion vasculaire peut être aussi une suite opératoire (séquelle d’intervention sur l’estomac, l’utérus, la prostate, tous organes très vascularisés). La formation même du caillot est la conséquence d’un trouble de la circulation : le sang ne s’écoule pas à la vitesse normale, il n’est plus assez fluide, le taux de prothrombine (substance qui participe à la coagulation) est trop élevé.

Si le caillot adhère mal à la veine, il se détache. Au cours de son voyage au travers du système vasculaire, il peut passer dans les veines caves, atteindre le coeur droit et s’introduire finalement dans l’artère pulmonaire ; suivant sa grosseur, il bouche ce conduit vital, une de ses branches ou seulement une artériole.

Causes et facteurs de risque de l’embolie pulmonaire

Quand le caillot provient ainsi d’une phlébite des membres inférieurs, celle-ci peut être visible cliniquement ou latente et invisible : il n’y a aucun symptôme au niveau de la jambe (mollet). On parle d’embolie pulmonaire cruorique.

Dans de rares cas, l’embolie pulmonaire n’est pas fibrino-cruorique (provoquée par un caillot sanguin) : l’obstacle qui entraîne l’embolie peut être une formation parasitaire, une viscosité graisseuse ou encore une bulle d’air.

  • L’embolie gazeuse se voit dans certains avortements où de l’air a été injecté dans la cavité utérine. Le mal des caissons affecte les scaphandriers ou les plongeurs sous-marins lorsqu’ils n’ont pas observé au cours de la remontée les paliers de décompression. L’azote dissous dans le sang se libère trop brutalement.
  • L’embolie septique est un bouchon qui est en fait une agglomération microbienne ou parasitaire liée à des fragments de tissus nécrosés. Ce corps étranger se comporte comme un caillot et provoque les mêmes effets. On peut en rapprocher l’embolie de tissus cancéreux métastatiques.
  • L’embolie graisseuse est accidentelle. Elle survient lorsque par erreur de manipulation, un liquide graisseux est introduit dans la circulation. Sa densité interdit tout mélange avec le sang et provoque des embolies spécifiques. Le même phénomène se produit lorsque, à la suite d’une fracture ouverte ou d’un massage cardiaque externe trop vigoureux fracturant les côtes et le sternum, la moelle osseuse pénètre dans une veine ou une artère.

Symptômes de l’embolie pulmonaire

L’embolie pulmonaire est une affection si fréquente que toute anomalie respiratoire survenant de façon brutale doit faire évoquer ce diagnostic.

L’embolie pulmonaire avec cœur pulmonaire aigu

Elle peut être mortelle et apparaît surtout chez un patient alité dans les suites d’une intervention chirurgicale.
Le début est brutal marqué par une douleur thoracique latéralisée ou médiane, constrictive en étau, angoissante, avec respiration rapide, sueurs, cyanose (coloration bleuâtre des téguments) et toux sèche.

A l’examen clinique, le médecin note une chute de tension artérielle, un pouls rapide, et un bruit de galop à l’auscultation. Le foie est douloureux et augmenté de volume. Une turgescence veineuse (état de tension augmenté) est fréquente. La recherche de signes de phlébite (stade de phlébothrombose) est souvent négative. Si elle existe, elle apporte un argument diagnostique capital (douleur provoquée dans le mollet, signe de Homans, etc.).

L’électrocardiogramme montre des signes de coeur pulmonaire aigu. La radio des poumons est parfois évocatrice. L’étude des gaz du sang montre une hypoxie (baisse du taux d’oxygène sanguin) et une hypocapnie (baisse du gaz carbonique). Le dosage du D-dimère est surtout utile pour le diagnostic d’exclusion de la thrombose et de l’embolie pulmonaire, car il n’est pas spécifique.

Le scanner thoracique et la scintigraphie pulmonaire, non dangereux, sont les examens complémentaires le plus utiles. Le scanner de préférence doit être réalisée en urgence. Il met en évidence le défaut de perfusion d’un territoire pulmonaire. Certains cardiologues pratiquent une angiographie pulmonaire sélective après cathétérisme de l’artère pulmonaire. L’écho-Doppler des veines des membres inférieurs confirme la phlébite.

Sous l’effet du traitement anticoagulant, l’amélioration est rapide en 24-48 heures. Cependant, l’aggravation est possible au cours des premières heures imposant le recours à un acte chirurgical (embolectomie) ou au traitement thrombolytique. L’évolution fatale reste très fréquente. Si le cap critique des premiers jours est franchi, les récidives doivent être prévenues par un traitement anticoagulant.

Les embolies pulmonaires foudroyantes

C’est une mort subite ou une mort en quelques minutes par collapsus.

Les embolies pulmonaires frustes

Elles sont très fréquentes. Les symptômes sont souvent trompeurs : vague douleur thoracique, tachycardie inexpliquée, angoisse, gêne respiratoire…

Le diagnostic est souvent porté quelques jours plus tard en cas d’infarctus pulmonaire : crachats sanglants, toux, fébricule. La radiographie pulmonaire est souvent évocatrice. Le scanner ou la scintigraphie pulmonaire confirme le diagnostic.

Les embolies pulmonaires chez les patients souffrant d’ insuffisance cardiaque et respiratoire

La fréquence des embolies pulmonaires chez ces patients et leur gravité imposent un traitement anticoagulant préventif.

Diagnostic différentiel

L’embolie pulmonaire provoque une douleur thoracique aiguë et angoissante. Elle doit être différenciée de l’ infarctus du myocarde par :

  • L’électrocardiogramme ;
  • Le dosage des enzymes cardiaques (transaminases) ;
  • La scintigraphie pulmonaire ;
  • La péricardite aiguë et la dissection aortique qui contre-indiquent l’utilisation des anticoagulants.

Traitement de l’embolie pulmonaire

Le traitement de l’urgence

En urgence, le traitement fait appel :

  • Aux anticoagulants : héparine intraveineuse à la seringue électrique. Les héparines de bas poids moléculaire (Fraxiparine par voie sous-cutanée) sont de plus en plus utilisées ;
  • A l’oxygène ;
  • Aux sédatifs ;
  • Au traitement du choc si nécessaire.

Le traitement ultérieur repose sur le traitement anticoagulant au long cours par voie orale (antivitamines K ou anticoagulants par voie orale).

Un traitement thrombolytique (streptokinase, urokinase) ou une embolectomie chirurgicale sous circulation extra-corporelle (CEC) peuvent s’imposer en milieu spécialisé en l’absence d’amélioration rapide.

Certains auteurs préconisent l’occlusion complète ou partielle de la veine cave inférieure (ligature chirurgicale ou clip).

Le traitement préventif

Le traitement préventif est capital et repose sur la prescription d’anticoagulants chez les sujets exposés à une thrombose veineuse profonde : sujets alités, convalescents d’intervention chirurgicale : antivitamines K ou héparine standard par voie sous-cutanée (Calciparine) ou héparine de bas poids moléculaire (Fragmine, Lovenox, Fraxiparine), sur le dépistage et le traitement précoce des phlébites des membres inférieurs, leur prévention par le lever précoce etc…

Les longs voyages aériens favorisent les thromboses veineuses et les embolies pulmonaires même chez des sujets apparemment sains. Les facteurs favorisants sont alors l’hypoxie (rôle aggravant du tabac) et la déshydratation due au faible degré d’humidité de l’air ambiant et à l’absorption d’alcool. La station assise prolongée entraîne des modifications de la composition du sang veineux des membres inférieurs.

Des conseils sont utiles en avion :

  • Eviter de fumer pendant quelques jours avant le vol ;
  • Eviter de boire de l’alcool pendant le vol ;
  • Boire beaucoup de boissons non alcoolisées ;
  • Faire régulièrement une petite marche dans les allées (choisir des places assises près des allées) ;
  • Prévoir un traitement anticoagulant préventif en cas de risque particulier.

Pour en savoir sur les risques liés aux voyages en avion, découvrez notre article « Gare au syndrome de la classe économique !« 

Dr Jacqueline Rossant-Lumbroso, Dr Lyonel Rossant, Révision médicale effectuée par le Dr Jesus Cardenas

Islam radical, la folie de trop

Des faits gravissimes touchent depuis plusieurs mois notre pays, nos familles, nos enfants, nos amis, les institutions. Même si Vivre l’Yonne se garde bien de prendre des positions de nature politique (bien sûr contraires à son objet), en tant qu’associations familiales, nous nous sentons interpellées. C’est dans cet esprit que nous nous exprimons, et non dans ce qui serait un refus de l’Islam.

Que ce soit un prêtre, un pasteur, un rabbin, un imam, la réaction d’écœurement serait la même.

Après les journalistes de Charlie Hebdo, les clients de l’HyperCacher, le patron de l’Isère, les jeunes du Bataclan et des cafés voisins, les nombreux policiers, les malheureux de Nice, peut-on vivre normalement, sans haine et sans colère ?

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Radicalisation de la jeunesse à l’islam

 

Le 21 septembre 2014 j’écrivais :

J’ai été alerté par un membre de ma famille de la détresse d’une de ses collègues, Édith (prénom d’emprunt).

La maman est baptisée dans la religion catholique, le papa est juif. Les deux ne pratiquent pas.

Hélène (prénom d’emprunt), sa fille de 17 ans a été élevée dans une forme d’athéisme.

Hélène a fait choix de l’Islam et, semble t’il, d’une forme de radicalisation.

Jusque là rien à dire car au nom d’une laïcité bien comprise chacun a le droit de pratiquer, dans sa sphère privée, la religion de son choix.

Intégrisme radicalisation
AFP PHOTO BERTRAND LANGLOIS

Le traditionalisme religieux  se doit d’accepter l’autre dans ses croyances et opinions. Mais pour n’importe quelle religion  l’intégrisme doit nous interpeler; la radicalisation religieuse, elle, ne peut que poser question et inquiéter. Doit on l’accepter dans notre pays ? …, les Pouvoirs Publics sont interrogés par l’actualité. Leur réponse est attendue.

Évoquer l’islam radical ne justifie nullement de faire un amalgame qui conduirait sur un très dangereux chemin, dans le deuxième pays occidental de religion musulmane.

Je reviens à Hélène.

Hélène vit chez sa maman, mais elle est est dans son monde, elle est en rupture familiale, sociale professionnelle et surtout identitaire.

Hélène est tombée amoureuse d’ un jeune Égyptien qui l’entraine vers un Islam radical. Celui ci retourne dans son pays. Hélène rêve de le rejoindre.

Édith qui sait que plus de 900 jeunes – recensés- sont partis faire le jihad, est très inquiète. Elle a encore confiance dans sa fille, mais celle ci est sous influence. La maman a mis en place une interdiction de sortie des frontières.

Le témoignage d’Édith m’a ému je l’ai enregistré. Regardez le.

Le 13 Novembre 2015, j’écrivais :

Une maman y exprimait sa terrible inquiétude de voir sa fille de 17 ans, amoureuse d’un jeune Égyptien, reparti dans son pays, adopter l’islam et s’engager, aux yeux de sa mère, sur le chemin d’une dangereuse radicalisation.

Celle que nous appelions Hélène, un nom d’emprunt (par discrétion)  a eu 18 ans en août 2015.

En Octobre dernier, Hélène a quitté le foyer maternel, dans la région parisienne pour se rendre à Marseille dans le but de se marier avec son ami, revenu, sans doute provisoirement. Elle est aujourd’hui mariée. Restera t’elle en France ?

Bien sur, la maman est brisée, même si courageusement elle assume son métier d’enseignante.

Le 1er février 2016, j’écris :

Hélène devenue majeure, s’est donc mariée, sans sa famille. Depuis elle vit dans le sud, habite un appartement d’où elle ne sort quasiment pas…. Elle « vit » sa nouvelle vie.

J.L.D.

GPA : le Gouvernement opposé.

GPA
Gestation Pour Autrui (GPA),

Devant les Députés le mardi 16 juin dernier, le Gouvernement par la voie de M. Jean-Marie Le Guen Secrétaire d’État chargé des relations avec le Parlement, à l’occasion de deux propositions de Loi a affirmé son opposition ferme et motivée au recours à la Gestation Pour Autrui (GPA), principe réclamé par les couples homosexuels.

Voilà sa déclaration :

« Le groupe Les Républicains a choisi d’inscrire dans sa journée réservée deux propositions de loi relatives à la délicate question de la gestation pour autrui, dont j’ai cru comprendre que ce n’était pas la première fois que notre assemblée avait à débattre.

La première proposition de loi, constitutionnelle, est relative à l’indisponibilité du corps humain ; la seconde, ordinaire, porte sur la lutte contre le recours à une mère porteuse. Attentif à votre démarche, le Gouvernement s’interroge toutefois sur l’opportunité de ces deux propositions de loi.

En effet, elles ne semblent pas apporter de plus-value par rapport au droit existant. On a trop souvent – j’en suis le témoin privilégié dans le cadre de mes fonctions ministérielles – la tentation de légiférer sans utilité. Nous avons même été rappelés à l’ordre à de nombreuses reprises, notamment par le Conseil constitutionnel, sur la tentation que peuvent avoir non seulement les parlementaires, mais aussi le Gouvernement, de légiférer sans utilité majeure.

De plus, pour revenir sur le fond, ces deux propositions de loi tendent à remettre en cause la prise en compte de condamnations de la Cour européenne des droits de l’homme, ainsi que la jurisprudence conforme de la Cour de cassation, au détriment de ce qui devrait pourtant être la priorité de notre attention : l’intérêt de l’enfant.

C’est bien là, me semble-t-il, la seule chose qui doit nous guider, plutôt que l’attachement à tel ou tel dogme. Je réaffirme ici la position constante et ferme du Gouvernement sur le sujet de la gestation pour autrui : il n’est pas question de revenir sur sa prohibition.

Il n’existe aucune volonté de légaliser d’une manière ou d’une autre cette pratique, qui tire profit de la détresse des personnes qui souhaitent y recourir, et participe d’une logique de marchandisation du corps humain que le Gouvernement condamne.

En premier lieu, le Gouvernement ne peut que souligner l’absence d’opportunité de la première de ces propositions, qui a vocation à inscrire dans la Constitution le principe d’indisponibilité du corps humain. En effet, le Conseil constitutionnel a rappelé, en 1994, que le principe de dignité de la personne humaine, contre toute forme d’asservissement et de dégradation, a valeur constitutionnelle.

Ce principe guide notre approche des problèmes liés à la bioéthique.

Par ailleurs, le principe d’indisponibilité du corps humain est déjà inscrit implicitement dans la loi, à travers les dispositions des articles 16-1 et suivants du code civil. Ces dispositions du code civil sont issues de la première loi bioéthique du 29 juillet 1994, que M. Léonetti connaît bien. L’article 16-1 de ce même code consacre le droit au respect du corps humain et son inviolabilité ; cette consécration indirecte s’ajoute à celle, expresse, de la jurisprudence de la Cour de cassation dans son célèbre arrêt « Alma Mater » du 31 mai 1991, dans lequel a été rappelée la prohibition de toute convention de gestation pour autrui.

Notre corpus juridique assure ainsi un cadre protecteur suffisant pour interdire toute commercialisation du corps humain, tout en aménageant la possibilité de prévoir, par la loi, des dérogations justifiées par un intérêt général.

Compte tenu du cadre protecteur déjà existant, la proposition de relever au niveau constitutionnel le principe d’indisponibilité du corps humain ne peut avoir pour effet que de restreindre les exceptions tolérées à ce principe, que le Conseil constitutionnel ne pourrait plus justifier par un motif d’intérêt général : est-ce là le but recherché ? Ériger au niveau constitutionnel le principe d’indisponibilité du corps humain pourrait en effet remettre en cause des pratiques telles que la recherche sur l’embryon, le champ de l’assistance médicale à la procréation ou encore la circulaire du 25 janvier 2013 relative au certificat de nationalité française délivré dans les situations de gestation pour autrui : je ne puis croire que vous poursuiviez de tels objectifs.

Notre arsenal pénal permet aujourd’hui d’appréhender et de réprimer l’essentiel des comportements liés à la GPA. Cela peut se faire sous les qualifications de provocation à l’abandon d’enfant – punie de six mois d’emprisonnement et de 7 500 euros d’amende –, Procréationd’entremise en vue de l’abandon d’un enfant – punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende –, d’entremise en vue d’une GPA – punie d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende –, et enfin de fraude à l’état civil – punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.

Les poursuites sont cependant quasi inexistantes contre les sociétés ou organisations qui offrent des prestations de GPA, car ces dernières opèrent depuis l’étranger – notamment depuis la Russie –, sans qu’aucun élément constitutif de l’infraction soit commis en France. Ainsi, la loi française ne s’applique pas, et les actes de complicité commis en France ne sont pas punissables lorsque la GPA est légale à l’étranger. ……. »

Enfants jeunes, temps familial et loi travail

UNAF - Union National des Associations FamilialesOn connaît l’implication des parents auprès des enfants de moins de 3 ans, mais qu’en est-il quand l’enfant rentre à l’école maternelle ? Pour mieux connaître la prise en charge parentale et collective des jeunes enfants scolarisés, l’UNAF a réalisé, en partenariat avec la DREES [Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques], une étude à partir de l’enquête Modes de garde 2013.

Un temps de présence parental essentiel auprès des 3 à 5 ans

De 8h à 19h, les parents s’occupent de leurs enfants 3 heures en moyenne par jour. 83% des enfants sont avec leurs parents le matin avant l’école, et 64% les retrouvent juste après. 19% des enfants de 3 ans ne vont à l’école que le matin. Le mercredi, 73% des enfants passent la plus grande partie de la journée avec un de leurs parents. > Lire la suite

Loi TRAVAIL, l’avez vous lu ?

Photo en attente

Le code du travail : 3400 pages.

Des personnes interrogées, au « café du commerce », sont résolument pour, et d’autres tout aussi fermes pour être contre la Loi TRAVAIL.

A la question : avez vous lu le texte du projet de Loi ? …non ; pour ceux qui au contraire affirment l’avoir étudié, une ou deux questions plus précises suffisent à installer le doute.

C’est pour cela que la rédaction de notre lettre électronique s’est donnée comme objectif de tenter modestement d’apporter quelques éléments d’information… > Lire la suite

Dépression post-partum expliquée aux hommes

Dépression post partum
La dépression du post partum est souvent un refus de la réalité

Messieurs, une mère sur huit vit difficilement l’arrivée d’un enfant, avec des conséquences peut être graves pour elle, pour l’enfant et pour le couple, tels « baby blues » et dépression .

Cette réalité statistique en augmentation constante est certainement due au fait que le stress de la vie ambiante n’épargne guère les futures mamans. La pression sociale et professionnelle est plus importante que jamais et le corps lui, est soumis, hormonalement, à une bien rude épreuve. > Lire la suite

Pornographie : danger pour les enfants… et les adultes.

Internet est un merveilleux outil dont nous ne pourrions plus nous passer. Mais l’autre face d’Internet, met en exergue divers dangers :

  • Invasion de la vie privée,
  • Prédateurs sur Internet,
  • Spam ou pourriels,
  • Désinformation,
  • Contenus violents ou haineux,
  • Jeux de hasard,
  • Cyber-intimidation,…..
  • mais surtout la pornographie, sujet de cet article.

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